Plateforme des intervenants en Psychosocial et en Santé Mentale

PPSM - Burundi

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Historique, Missions & Vision

Historique

La Plateforme des intervenants Psychosocial et en santé mentale, PPSM en sigle est née de l'initiative des acteurs en psychosocial à la suite des résultats d'une étude sur l'état des lieux des structures d'aide en psychosocial réalisée en 2011 qui ont prouvé la nécessité de renforcer la collaboration des acteurs pour promouvoir la qualité des services ainsi que leur accessibilité. C'est ainsi qu'en 2012, un Plan d'action couvrant la période 2012-2014 a été élaboré dans le but de promouvoir le système de prise en charge psychosociale, particulièrement à base communautaire. PPSM a obtenu sa reconnaissance légale en avril 2014 par l'ordonnance ministérielle N°530/601.

Missions

  • Plaider pour la promotion de la prise en charge psychosociale et de la santé mentale
  • Coordonner, accompagner et faciliter la collaboration de l'ensemble des acteurs
  • Rendre accessible les services psychosociaux et de santé mentale de qualité à la population burundaise grâce à la coordination et au renforcement de la synergie des acteurs membres et/ou partenaires locaux de la PPSM

Vision

"La population burundaise a facilement accès aux services psychosociaux et de santé mentale de qualité grâce à la coordination et à la synergie des intervenants"

Notre Slogan

Faisons de la santé mentale une priorité

Nos Services

Renforcement des capacités

Formation des enseignants aux bases de la prise en charge psychosociale.

Accompagnement psychosocial

Soutien semi-spécialisé dispensé par des psychologues qualifiés.

Références des cas complexes

Orientation vers des soins psychiatriques adaptés pour les cas nécessitant une prise en charge spécialisée.

Plaidoyer

Actions de sensibilisation et de défense des droits liés à la santé mentale.

Recherche et actions

Études et initiatives sur les approches innovantes en matière de soutien psychosocial.

Tabariza mw'ibanga umwana ariko araca mu ngorane nseserezamutima kumurongo utariha 116

Appeler le 116

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Ne laissez pas l’IA décider à votre place : préservez votre autonomie et votre santé mentale

L’usage non modéré de l’intelligence artificielle peut fragiliser notre autonomie et notre santé mentale. Quand chaque décision, même simple, est confiée à l’IA, le risque est de perdre progressivement confiance en sa capacité à décider. Chez les jeunes en milieu scolaire, ce phénomène est particulièrement préoccupant. Beaucoup délèguent leurs devoirs ou travaux scolaires à l’IA, sans fournir l’effort de recherche ni de réflexion. À long terme, cette habitude prive les élèves d’exercices essentiels pour développer l’esprit critique, la créativité et les compétences pratiques indispensables à leur avenir. Les risques psychologiques de la dépendance à l’IA Cette dépendance peut provoquer : anxiété et indécision chronique, baisse de l’estime de soi, une perte de confiance en son propre jugement et dans ses capacités à apprendre par l’expérience. Promouvoir un usage responsable L’IA doit rester un outil d’appui, et non un substitut aux efforts personnels, à la réflexion et à la pratique. Investir dans l’éducation numérique responsable, sensibiliser les familles et accompagner les jeunes leur permet de tirer profit de la technologie tout en restant acteurs de leur apprentissage et de leur avenir. Préservons notre autonomie et notre santé mentale en adoptant un usage équilibré de l’intelligence artificielle. Ensemble, accompagnons les jeunes à devenir des décideurs confiants et créatifs.

PPSM   |   95 Views

Publié le 1 septembre 2025
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« Il n’y a pas de santé sans santé mentale »
20 août
La célèbre affirmation de l’Organisation Mondiale de la Santé rappelle une réalité fondamentale : la santé mentale est indissociable de la santé globale. Elle constitue un pilier essentiel du bien-être de chaque individu et de la cohésion des communautés. Au Burundi, ce constat prend une dimension particulière. Dans un contexte marqué par des défis sociaux, économiques et culturels, la promotion de la santé mentale représente un levier crucial pour renforcer la résilience et la solidarité. La santé mentale, un enjeu collectif Prendre soin de la santé mentale, ce n’est pas seulement prévenir ou traiter les troubles psychologiques : c’est favoriser l’estime de soi et l’équilibre personnel, c’est construire des environnements sociaux et familiaux bienveillants, c’est aussi encourager l’entraide et la solidarité face aux difficultés de la vie. Un appel à l’action La PPSM s’engage activement à travers des activités de sensibilisation, des initiatives communautaires et des programmes de soutien psychosocial. Ces efforts visent à accompagner les populations, renforcer les réseaux de solidarité et promouvoir une culture du respect et de la résilience. Il est temps de considérer la santé mentale comme une priorité nationale et communautaire. Ensemble, nous pouvons bâtir un Burundi plus équilibré, solidaire et résilient.
La PPSM à votre service, pour une bonne santé mentale.
1 août
Le Coordinateur national met en lumière les activités phares réalisées par la PPSM, témoignant de son engagement en faveur du bien-être mental des communautés. À travers des actions de sensibilisation, des accompagnements psychosociaux, des formations et des partenariats solides, la PPSM œuvre pour une société plus résiliente, informée et solidaire. Parce que chaque action compte, la PPSM reste mobilisée pour renforcer la santé mentale au cœur de nos communautés.
PREVENIR LE SUICIDE : COMPRENDRE, AGIR, ET BRISER LE SILENCE
11 juin
Le suicide demeure une urgence silencieuse de santé publique. Trop souvent entouré de tabous et d’incompréhension, il emporte chaque année des vies qui auraient pu être épargnées. Pourtant, dans bien des cas, un geste, une parole, une écoute attentive peuvent suffire à faire la différence. Reconnaître les signes de détresse Avant un passage à l’acte, certains signaux peuvent alerter. Savoir les repérer, c’est déjà agir : Isolement ou repli sur soi Changements d’humeur brusques ou inhabituels Propos désespérés ou évoquant la mort Recherche de moyens pour se faire du mal Troubles du sommeil ou de l’appétit Consommation excessive d’alcool ou de drogues Ces signes ne doivent jamais être ignorés. Ils appellent à une attention bienveillante, à un dialogue sincère, et à une orientation vers des ressources adaptées. Intervenir peut sauver une vie Aborder le sujet du suicide peut sembler délicat, mais en parler, avec respect et sans jugement, est un acte de soutien. Écouter vraiment, poser des questions avec empathie, ne pas minimiser la souffrance de l’autre, et l’encourager à consulter un professionnel : ce sont là des gestes simples qui peuvent sauver une vie. Construire une culture du soutien Prévenir le suicide, c’est aussi s’attaquer aux causes profondes : la stigmatisation de la souffrance psychique, le manque de prise en charge, et le silence collectif. Il est temps de favoriser : Une écoute active dans les familles, les écoles, les lieux de travail ; L’accès à des services de santé mentale accessibles et de qualité ; Un engagement de tous : citoyens, professionnels, institutions. Chaque mot compte. Chaque geste peut apaiser une détresse. Ensemble, faisons de la prévention du suicide une priorité, pour une société plus humaine, plus solidaire, où chacun se sent vu, entendu, soutenu. Tags : #santémentale, #préventionsuicide, #écouteactive, #solidarité, #briserlesilence

Témoignages

"Quand une femme victime de viol arrive, brisée et pleine de honte, nous l'accompagnons d'abord à l'hôpital, puis auprès des autorités. Voir une survivante reprendre confiance en la vie... c'est pour cela que le CCARP existe."

N. Euphrasie
Membre du CCARP collinaire (Bugendana)

"Edouard [volontaire Croix-Rouge] est surnommé Moïse ici. Avec sa moto, il transporte les malades à l'hôpital, jour et nuit. Sans lui, beaucoup ne pourraient pas se soigner. Le CCARP compte sur des héros comme lui."

Ndayisenga Angeline
Membre du CCARP communal (Bukemba)

"Grâce à la coordination PPSM, nous trouvons ensemble des solutions pour les cas les plus difficiles. Quand un enfant souffre ou qu'une mère est en détresse, personne n'est laissé seul. C'est ça, la solidarité."

N. Fanny Grâce
Point focal PPSM (Gitega)

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